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Le geek aime le cinéma, mais desfois le cinéma n'aime pas le geek

9 juillet 2012

Willow

willow

Aujourd'hui j'ai vu un nain, je suis allé le voir, j'ai commencé à discuter avec lui, un débat s'est engagé autour des elfes. 

Le nain :"Ouai les, elfes c'est des cons
_Mais arrête dis pas ça, t'en connais des elfes?
_Non et encore heureux. Pis c'est des tapettes! 
_Mais non, enfin, les elfes c'est un peu orgeuilleux mais s'est sympa quand t'apprends à les connaitre. Regardez, vous les nains, vous à première vu, un peu rustre, pourtant la langue naine est une langue plein de poésie!
_Je vais te dire un truk qui est poétique tiens: ta gueule!"
Bon, après j'ai arrêté, je me suis rendu compte que le nain était habillé en vert, avait un pantalon bleu, des chaussures marrons, un bonnet rouge des cheveux et une barbe blanche. 

A oui j'ai failli oublié, détaille important, il était en céramique.... 


Bon après cet introduction vraiment à chié, j'ai décidé de parler de Willow, film de Ron Howard (C'est qui Ron Howard?) mais si, vous savez, c'est celui qu'a rien fait de bien appart le Da Vinci Code, Apolo 13 et The Grinch (qui est soit disant passant bien, juste parce qu'il y a Jim Carrey). Bon il essaie dans ce film de s'attaquer à l'univers de l'héroïc-fantasy, avec des nains, des trolls, des humains, de la magie, et une méchante Reine toute vilaine pas belle. L'homme, c'est Val Kilmer (j'ai envie de dire, oui vous avez raison! Si vous ne comprenez pas la blague, votre santé mentale n'es pas défaillante) le nain, c'est Warwick Davis (qui à joué M.Flitwik dans Harry Potter) et la méchante Reine c'est Jean Marsh. 

Bon alors que dire,les avis sur ce films sont mitigés. Certains le trouve extraordinaire, moi je le trouve bof. Alors, les effets spéciaux pour l'époque sont pas supers. Le jeu d'acteurs et franchement pas terrible, aussi savoureux qu'un gâteau carottes-camembert qu'on à laissé reposé 2 jours. 

En plus, le réalisateur bafous les régles de l'héroïc-fantasy, pas d'elfes, PAS D'ELFES!!! Alors oui c'est un groupe de voyageur qui accomplis une quête pour sauver le monde. Mais merde quoi, de l'héroïc-fantasy sans elfe, c'est comme une femme sans vaisselle, ça n'as plus aucune valeurs (désolé si je choque). Et puis c'est niant niant à souhait, on à l'impression que le scénariste c'est inspiré de oui-oui. Et puis la magie elle est nul, il y a deux vieilles qui se combattent et qui pour formule magique bouge leurs baguettes dans tous les sens et himitte des bruits de mitraillette avec leurs bouches, c'est moins classe qu'abracadabra quoi. 

Bref, moi je pense que c'est pas un super film

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7 juillet 2012

Tucker et Dale fightent le mal

Tucker et Dale Fightent le mal

J'en avais marre des films pourri et/ou mélodramatique, alors aujourd'hui c'est film drôle ! 

Ce film est sortie cette année dans les salles, le 1er Février pour être exact, c'est le tout premier film d'Eli Craig, et quel film! On y retrouve Tyler Labine qu'on avait pu voir brièvement dans planète des singes : les origines, mais surtout dans la série très décalé, le diable et moi, il joue ici le rôle de Dale. Pour le rôle de Tucker, c'est Alan Tudyk qui si colle, il avait joué le personnage de Sonny dans I Robot, mais lui aussi est plus connu pour son rôle dans une série, puisqu'il joue le pilote du Serenity dans Firefly.

L'histoire est celle de jeune qui parte campé en forêt après les exams. Tucker et Dale eux, vienne d'acheter une maison dans cette forêt grâce aux économie de Tucker, et compte bien la retapé pour en faire une baraque de rêve. Seulement, les étudiants vont devenir complètement parano.

Ont retrouve tous les classique du film d'horreur pour ados, déjà dans le scénario, puis dans les rôles, la belle blonde qui est plus intelligente qu'elle ne veut le faire croire (Alison interprété par Katrina Bowden), le bogosse relou qui veut se la faire (Chad joué par Jesse Moss), et la blonde vraiment conne (Chloé joué par Chelan Simmons). Mais l'originalité du film est que Tucker et Dale sont deux gros boulet en puissance. En effet, il ne veulent pas tué les étudiants, mais des quiproquo vont s'installer entre eux. Et les étudiants vont penser que les 2 bûcherons en veulent à leurs vies, et décident donc de se défendre en tentant de les tués. Des quiproquo qui donnent lieux à des scènes vraiment drôle avec un humour bien potache comme il faut, et tous cela mélanger avec de l’hémoglobine.

Bon, la réalisation est banale, mais le fort du film viens vraiment du scénario. Avant les films comiques se contentés de parodier les films d'horreur, avec la saga des très bon Scary Movie (dont le 5 devrait sortir l'année prochaine). Mais là, personne n'aurait jamais pensé à "Et si les tueurs étaient les victimes", il fallait en avoir l'idée, et trouver des gags pas trop gros pour que ça ait l'aire crédible, en plus, ces gags sont drôles. Bref, bravo Monsieur Eli Craig, car pour un premier film, celui-ci est bon, juste et vraiment drôle.

6 juillet 2012

Jack Said

Jack Says

Alors aujourd'hui, j'ai mangé des carrotes. A oui, sinon j'ai vu un film, mais j'ai envie de l'oublier...

 

Jack Said ("Jack à dit" pour les gens qui sont non anglophone) est un film sortie en 2010, c'est un peu le Justin Bieber du cinéma, il n'aurait jamais dû naître. Bieber se réclame de Kurt Cobain, Bob Phillips (le réalisateur) se réclame de Rodriguez et du génial Sin City. Alors oui, il à remporter des prix au festival de Newport, mais la concurrence devait pas être rude.

 

Bref, ça raconte l'histoire d'un mec qui se réveille à Londre, dans un entrepôt à côté d'un mec mort et il est amnésique. Il trouve une adresse sur une photo de seins (cinéma d'auteur!) qui l’amène jusqu'à Paris où il vas rencontrer une chanteuse de cabaret appelé mademoiselle X (original) qui est traqué par une lesbienne couguar (cinéma d'auteur !). Bref, il est en quête d'identité, et il se bastonne toute les 10 minutes.

 

Alors ouai, on voit la référence à Sin City, parce qu'il y a une histoire de mafia, qu'il y a du sang et une séquence en noir et blanc qui passe en boucle. Mais franchement, c'est pas à la hauteur, si c'était à la hauteur de quelque chose, se serai de passe-partout (le nain de ford Boyard). Il n'y a vraiment rien d'original, à vrai dire, même le rythme des combats est chiant.

 

Alors Simon Phillips (Jack) a eu le prix du meilleurs acteur au festival de Newport, mais franchement, le seule adversaire qu'il devait avoir, c'était Christophe Lamber, parce que là...enfin y a rien, pas d'émotion rien. Il y a autant de jeu d'acteur, que de matière grise dans le cerveaux d'Eve Angelli. D'accord le mec gueule une fois parce que sa femme est morte (spoile) mais bon, sinon c'est à chier.

 

Autre fait vraiment chiant, il y à de la musique tout le temps. Mais genre vraiment tout le temps. Encore, ça aurait été Dany Elfmann qui l'aurait composée ça m'aurait pas dérangé, mais le mec est très loin de M.Elfmann, c'est un peu le Nicki Minaj de la BO quoi. Le film dure 1h25, et heureusement, parce qu'avec ce contenu qui ressemble à une poubelle de McDonald, t'as envie de te tirer une balle sévère.

 

Bon pour conclure, une réalisation qui se surestime et qui pense faire un film culte, une musique qui est moins bien que du David Guetta, un jeu d'acteur au niveau de Francis Huster (personne connaît ? Tant mieux!). Après avoir fait un film comme ça, il n'y a qu'une chose à faire, tirer la chasse.

5 juillet 2012

The amazing Spider-man

 

The-Amazing-Spider-Man

 

Après la trilogie Spider-man de Sam Raimi, qui, il faut le dire avait un peu déçu le publique d'amateur de l'araigné, ce reboot avec Andrew Garfield offre une nouvelle vision cinématographique de cette dernière.

Marc Webb est tout jeune à Hollywood puisque il signe ici son 2éme film et son 1er blockbuster, il avait réaliser le bon 500 jours ensemble en 2009 et avait réalisé avant cela des clips pour le groupe d'émo pop/rock My chemical romance, dont le très bon "ghost of you", un CV qui fait peine à voir par rapport à l'expérience qu'avait Sam Raimi lorsqu'il prit en main le jeune Parker en 2002 où celui-ci c'était déjà imposé comme l'un des grands réalisateur d'horreur avec Darkman en 2002 nottament. C'est donc un adversaire de taille que Marc Webb devait battre.

Mais avant tout, puisque Spider-man est un personnage de comics et qu'il est porté au cinéma, il me faut vous expliquez les différentes histoires qu'à connu ce personnage. En effet, l'une des particularités de Spider man est qu'il y a 3 histoires différentes autour de lui. En premier lieu il y a the Spectacular Spider-man, où le jeune Peter Parker est amoureux de Marie-Jane Watson et où on ne fait pas grande cause de la mort de ses parents, comme son nom l'indique, cette BD mise surtout sur l'aspect spéctaculaire du personnage cascade ect. Puis en second temps il y à the amazing Spider-man (qui est enfaite la toute première histoire) où là, Peter Parker à une relation sérieuse avec Gwen Stacy, et où le personnage est bien plus noire, où l'on se concentre sur l'aspect psychologique du héro (dédoublement de personnalité ect). C'est cet apsect que portera au paroxisme la 3éme histoire, the Ultimate Spider-Man où l'histoire veut que Peter Parker garde le costume noir (le symbiote) qui le rends beaucoup plus agressif et beaucoup plus méchant, un peu comme un batman mais version araigné. C'est donc le tout premier mensuel, The amazing Spider-man que décide d'adapter Marc Webb.

Avant de revenir sur le film, puisqu'il s'agit d'un reboot d'une adaptation, il faut voir ce qu'a voulu faire Sam Raimi dasn sa trilogie. La grande est principal erreur de ce dernier a été de vouloir mélangé ces 3 histoires, sans réel succés, un Peter Parker larmoyant dans les 2 premiers volets mais plus sombre dans le 3 éme, laissant de côter des détailles et biensur des morceaux des histoires qui sont important.

Bref, pour en revenir au film lui-même, il nous montre un Peter Parker un peu skateur, écoutant du cold play dans les couloirs du lycée, Peter parker étant un ados dans cette histoire, il faut bien le transposer au 21éme siècle hein, cela n'en est rien choquant. Mais là où James Vanderbilt (le scénariste) est bon, c'est que ce Peter Parker n'en reste pas moins un boulet, le mec qui reste planté devant une fille pendant 2 minutes en ne prononçant que des honomatopé le jeu d'Andrew Garfield le rendant naturel au possible. On à aussi le plaisir, niveau scénario de retrouvé un spider-man sombre, ave une histoire d'abandon qui l'a traumatisé, moins pour enfant que dans ceux de Sam Raimi, avec des pétages de cables où parfois il fait peur, de la bonne rage adolescente quoi. Et puis, chose qui n'étais pas dans les films de Raimi, l'humour, l'humour avec un H, l'humour (réelement) de merde de Peter Parker parce que Spider-Man, c'est avant tout le boulet qui fait chier tous le monde avec ses blagues pas drôle!

Côté jeu d'acteur, Emma Stone rayonne dans le rôle de Gwen Stacy, la fille que l'on à connu avec l'excellent SuperGrave et qui à montrer son talent dans la très bonne comédie Crazy,Stupide,Love, fait une Gwen Stacy parfaite. Rien à redire à Andrew Garfield qui saits joué à la perfection les ados désespéré depuis le superbe Never let me go, il endosse très bien le rôle de Peter Parker. Irfan Khan, vu dans Human Nature et MrNobody est juste dans le scientifique fou, désirant retrouver son bras. On notera tout de mêm que Martin Sheen joue un Ben Parker qui fait beaucoup plus papy attendrissant que Cliff Robertson qui faisait plus bon vieil américain. Au contraire, alors que Rosemarry Harris faisait une tante May adorable, pleurnicheuse et grand-mère qui t'offre des madeleines, Julianne Nicholson, fait bien plus maman un peu relou sur les bords qui te demande d'acheter des oeufs bio avant de rentrer du lycée.

Niveau réalisation, on est vraiment content. Content parce qu'elle est soigné, qu'elle prend un peu de risque pour un block buster avec par exemple la merveilleuse vue à la première personne lorsque le super-héro tisse sa toile, content parce que il y a de très beau raccords et de très beau plan. Et enfin, content, parce que si vous allez le voir en 3D, celle-ci est utile. La 3D fonctione parfaitement lors des cascades de Spider-man, où lorsque les cristaux de gaz (vous comprendrez quand vous irez le voir) tombent, on à l'impression de pouvoir les attraper, alors rien que pour faire une 3D qui vaut le coup, je dis merci Monsieur Webb!

On notera que malheureusement, la musique, bien qu'elle ne soit pas trop présente, n'est pas à la auteur de celle de Dany Elfman, mais il fallait s'y attendre.

En somme un reboot meilleurs que les films de Raimi, et une adaptation plutôt bonne même si la remise au gout du jours de Peter Parker pourra déplaire aux vieux fan. Bref aller le voir!


4 juillet 2012

The bicentinnial man

Bicentinnial man

The Bicentinnial Man, un film sortie dans les années 2000. C'est Chris Colombus, réalisateur du pas super Peter Jackson : le voleur de foudre mais du pas mal La couleur des sentiments, mais aussi d'un certain Harry Potter et la chambre de secrets (jamais entendu parler). Avec Robin William, l'un des plus grands acteurs que l'on ai sur la planette, il est évident que ce film allez être magnifique, du moins niveaux acteurs. 

L'histoire se passe en 2015 alors que la famille Martin fait l'acquisition d'un robot domestique qu'ils décident de nommer Andrew. Après une chute depuis une fenêtre, Andrew montre des aptitudes humaines, telles que la curiosité, l'imagination et la créativité. Le père de la famille Martin décide alors de le prendre sous son aile et de lui apprendre "les choses de la vie" (o mon dieu). Mais le vrai objectif d'Andrew est de devenir humain.

La force de ce film est de faire passer 200 ans en 2heures de film sans que l'on est l'impression que le film est trop rapide sur certain détaille. Malheureusement pour cela, Chris Colombus utilise des plans un peu long, qui parfois sont un peu trop long, et à même quelques fois l'impression que le flm bug. Du côté acteur on a réelement rien à reprocher a MONSIEUR Robin Williams qui, encore une fois nous prouve son énorme talent et arrive à faire passer de l'émotion alors qu'il a une vrai/fausse couche de metal su le visage et une voix déformer, si ça c'est pas être un acteur de génie ! Et puis Robin Willians il à fait telement de rôles merveilleux et qui sont cultes auojourd'hui, Peter Pan dans Hook ou la revanche du capitaine crochet, John Keating dans le cercle des poètes disparu, Adrian Cronuaeur dans Good morning Vietnâm et le professeur dans Flubber aussi et puis Allan Parish dans Jumanji! Et puis Robin Williams il ressemble au père-noël et sa fille s'apelle Zelda ( à cause du jeu the Legend of Zelda) alors franchement, quand on le voit dans la rue on s'incline et on lui embrasse les pieds à Robin Williams!

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4 juillet 2012

Space Jam

Voici

space-jam

Sapce Jam de Joe Pytka (qui ne réalisera que ce film d'ailleurs) sortie en 1996 soit quasiment 10 ans après le magnifique "Qui veut la peau de Roger Rabbit?" et 6 ans avant le très moyen "Les Lonney Tunes passent à l'action". 

Une star du basket appelé Michael Jordan (personnage inventé de toute pièce) décide de prendre sa retraite bien mérité et de se mettre au baseball, malheureusement, il est un grosse merde. Mais pendant ce temps, dans l'univers du Lapin Bugs Bunny, un très vilain propriétaire de parc d' attraction est en manque de manége et décide de tenté de capturé la bande de Dafy Duck pour en faire sa nouvelle attraction. Pour cela il envoie 4 minuscule vermine attendrissante, cruel, et avec de gros flingues bien badass. M. Bunny a alors une idée, il leurs propose un match de basket (vu la petite taille des nabots) ceux-ci accepte sans même savoir ce qu'est le basket. Ces vermines orange, bleu, verte et mauve (ha les couleurs des années 90) décident alors de voler le talents des plus grands joueurs de la NBA, devant cela, Bugs Bunny décide de frapper fort et oblige M.J ("Quoi Michael Jackson ???_ Non non, Michael Jordan, c'est un film pour enfant, l'autre riquerais de les effrayés!") à venir joué pour eux.

Bon il est claire que vu l'avancé technologique que le cnéma à fait, pourquoi ne pas le resortire en 3D hein ? :D Ca ferait du pognon tous ça tous ça! :D Non je vous arrête il ne l'on pas fait. Quand on voit ce film, on se dit que ok, on as fait des progrès niveaux animation, mais celle-ci n'en reste pas moins honorable pour l'époque à laquelle est sorti le film. Elles sont relativement fluide, bien intégré au film. L'humour est un humour potache de Looney Tunes qui est obligé de vous faire rire parce qu'il est super con, mais c'est ce qu'on aime dans la troupe de Porky non ? Le jeu d'acteur de Michael Jackson n'est pas si mauvais, mais a défaut d'être à chié en baseball, il ne deviendra pas acteur. Après avoir fini ce film, vous aurez sauvagement envie de vous éclaté la gueule dans votre jardin à tenté de faire des dunks de ouf et raté parce que vous n'étes pas Michael Jordan. Au final, vu que je suis petit, je pense être plus proche de la vermine bleu de l'espace que du monsieur au Nike !

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Le geek aime le cinéma, mais desfois le cinéma n'aime pas le geek
  • Les salles obscur ça le geek connait, quand on parle de Science-fiction et d'héroïque fantasie, le geek est toujours le premier à dire "Tu touche à Tolkien, je te fout Sauron dans le cul", ou un "putain!". Bref le geek aime le cinéma et les séries.
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