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Le geek aime le cinéma, mais desfois le cinéma n'aime pas le geek
5 juillet 2012

The amazing Spider-man

 

The-Amazing-Spider-Man

 

Après la trilogie Spider-man de Sam Raimi, qui, il faut le dire avait un peu déçu le publique d'amateur de l'araigné, ce reboot avec Andrew Garfield offre une nouvelle vision cinématographique de cette dernière.

Marc Webb est tout jeune à Hollywood puisque il signe ici son 2éme film et son 1er blockbuster, il avait réaliser le bon 500 jours ensemble en 2009 et avait réalisé avant cela des clips pour le groupe d'émo pop/rock My chemical romance, dont le très bon "ghost of you", un CV qui fait peine à voir par rapport à l'expérience qu'avait Sam Raimi lorsqu'il prit en main le jeune Parker en 2002 où celui-ci c'était déjà imposé comme l'un des grands réalisateur d'horreur avec Darkman en 2002 nottament. C'est donc un adversaire de taille que Marc Webb devait battre.

Mais avant tout, puisque Spider-man est un personnage de comics et qu'il est porté au cinéma, il me faut vous expliquez les différentes histoires qu'à connu ce personnage. En effet, l'une des particularités de Spider man est qu'il y a 3 histoires différentes autour de lui. En premier lieu il y a the Spectacular Spider-man, où le jeune Peter Parker est amoureux de Marie-Jane Watson et où on ne fait pas grande cause de la mort de ses parents, comme son nom l'indique, cette BD mise surtout sur l'aspect spéctaculaire du personnage cascade ect. Puis en second temps il y à the amazing Spider-man (qui est enfaite la toute première histoire) où là, Peter Parker à une relation sérieuse avec Gwen Stacy, et où le personnage est bien plus noire, où l'on se concentre sur l'aspect psychologique du héro (dédoublement de personnalité ect). C'est cet apsect que portera au paroxisme la 3éme histoire, the Ultimate Spider-Man où l'histoire veut que Peter Parker garde le costume noir (le symbiote) qui le rends beaucoup plus agressif et beaucoup plus méchant, un peu comme un batman mais version araigné. C'est donc le tout premier mensuel, The amazing Spider-man que décide d'adapter Marc Webb.

Avant de revenir sur le film, puisqu'il s'agit d'un reboot d'une adaptation, il faut voir ce qu'a voulu faire Sam Raimi dasn sa trilogie. La grande est principal erreur de ce dernier a été de vouloir mélangé ces 3 histoires, sans réel succés, un Peter Parker larmoyant dans les 2 premiers volets mais plus sombre dans le 3 éme, laissant de côter des détailles et biensur des morceaux des histoires qui sont important.

Bref, pour en revenir au film lui-même, il nous montre un Peter Parker un peu skateur, écoutant du cold play dans les couloirs du lycée, Peter parker étant un ados dans cette histoire, il faut bien le transposer au 21éme siècle hein, cela n'en est rien choquant. Mais là où James Vanderbilt (le scénariste) est bon, c'est que ce Peter Parker n'en reste pas moins un boulet, le mec qui reste planté devant une fille pendant 2 minutes en ne prononçant que des honomatopé le jeu d'Andrew Garfield le rendant naturel au possible. On à aussi le plaisir, niveau scénario de retrouvé un spider-man sombre, ave une histoire d'abandon qui l'a traumatisé, moins pour enfant que dans ceux de Sam Raimi, avec des pétages de cables où parfois il fait peur, de la bonne rage adolescente quoi. Et puis, chose qui n'étais pas dans les films de Raimi, l'humour, l'humour avec un H, l'humour (réelement) de merde de Peter Parker parce que Spider-Man, c'est avant tout le boulet qui fait chier tous le monde avec ses blagues pas drôle!

Côté jeu d'acteur, Emma Stone rayonne dans le rôle de Gwen Stacy, la fille que l'on à connu avec l'excellent SuperGrave et qui à montrer son talent dans la très bonne comédie Crazy,Stupide,Love, fait une Gwen Stacy parfaite. Rien à redire à Andrew Garfield qui saits joué à la perfection les ados désespéré depuis le superbe Never let me go, il endosse très bien le rôle de Peter Parker. Irfan Khan, vu dans Human Nature et MrNobody est juste dans le scientifique fou, désirant retrouver son bras. On notera tout de mêm que Martin Sheen joue un Ben Parker qui fait beaucoup plus papy attendrissant que Cliff Robertson qui faisait plus bon vieil américain. Au contraire, alors que Rosemarry Harris faisait une tante May adorable, pleurnicheuse et grand-mère qui t'offre des madeleines, Julianne Nicholson, fait bien plus maman un peu relou sur les bords qui te demande d'acheter des oeufs bio avant de rentrer du lycée.

Niveau réalisation, on est vraiment content. Content parce qu'elle est soigné, qu'elle prend un peu de risque pour un block buster avec par exemple la merveilleuse vue à la première personne lorsque le super-héro tisse sa toile, content parce que il y a de très beau raccords et de très beau plan. Et enfin, content, parce que si vous allez le voir en 3D, celle-ci est utile. La 3D fonctione parfaitement lors des cascades de Spider-man, où lorsque les cristaux de gaz (vous comprendrez quand vous irez le voir) tombent, on à l'impression de pouvoir les attraper, alors rien que pour faire une 3D qui vaut le coup, je dis merci Monsieur Webb!

On notera que malheureusement, la musique, bien qu'elle ne soit pas trop présente, n'est pas à la auteur de celle de Dany Elfman, mais il fallait s'y attendre.

En somme un reboot meilleurs que les films de Raimi, et une adaptation plutôt bonne même si la remise au gout du jours de Peter Parker pourra déplaire aux vieux fan. Bref aller le voir!


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Commentaires
Le geek aime le cinéma, mais desfois le cinéma n'aime pas le geek
  • Les salles obscur ça le geek connait, quand on parle de Science-fiction et d'héroïque fantasie, le geek est toujours le premier à dire "Tu touche à Tolkien, je te fout Sauron dans le cul", ou un "putain!". Bref le geek aime le cinéma et les séries.
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